algue kombu

L’algue kombu, au même titre que d’autres algues comme le wakame, le nori ou encore l’iziki, a un nom à connotation bien japonaise, comme vous pouvez le remarquer.

C’est d’ailleurs grâce à l’essor de la cuisine japonaise que nous adoptons dans nos contrées ces produits et que nous en retirons les bienfaits dans notre alimentation.

Le kombu a pour variété botanique laminaria digitata. Elle est principalement cultivée au Japon dans le région de Hokkaido.

Pour nous français, de surcroit suspicieux quant aux effets de la catastrophe de Fukushima sur les produits japonais, sachons que le kombu est aussi récolté chez nous, plus précisément en Bretagne.

Le kombu est d’abord utilisé comme adjuvant de cuisson des légumes secs. Il a en effet pour fonction d’en ramollir les fibres, améliorant leur digestion et en accélérant la cuisson.

Mais le kombu est également utilisé par un nombre toujours plus important de cuisiniers qui l’incorporent dans des plats pour le moins originaux.

A dimension familiale, une feuille de kombu dans la casserole d’eau bouillante suffit pour que ses fonctions soient remplies. Vous pouvez rincer l’algue à l’eau froide avant de la mettre dans l’eau de cuisson si vous le désirez.

Puis, une fois la cuisson des légumineuses arrivée à terme, le kombu peut parfaitement être coupé en morceaux et laissé dans le plat. Dans l’éventualité où la feuille de kombu aurait des parties plus dures, il est possible de les tailler très finement et de les remettre dans le plat.

Je n’ai, à ce jour, jamais utilisé le kombu comme ingrédients dans la composition d’un plat. J’espère vous proposer a terme des recettes végétariennes en intégrant.

Rendez-vous donc dans vos boutiques bio pour vous procurer cet ingrédient que nous devrions tous avoir dans nos cuisines.